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Low Code BPM : Fonctionnalités et astuces à connaitre | Axelor

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La révolution BPM Low Code

Le BPM (Business Process Management) Low Code/No Code possède de sérieux atouts à faire valoir pour les entreprises en permettant de prendre du recul sur leurs activités et de visualiser de façon claire les processus des différents métiers.
Si les modélisations existent depuis de nombreuses années, c’est la combinaison du BPM et du Low-code qui constitue une véritable révolution pour les entreprises. Petit tour d’horizon sur les fondamentaux de ces outils et des cas pratiques possibles.

Qu’est-ce que le BPM ?

Ce que l’on appelle un outil BPM ou Business Process Management est un logiciel de modélisation des processus métiers ou workflow qui va permettre à une entreprise d’optimiser ces derniers. Le logiciel BPM permet notamment de représenter graphiquement les processus de pilotage utilisés par les sociétés, mais aussi de les déployer et de les exécuter de manière automatique. Le suivi, le contrôle et l’analyse des dits processus sont également intégrés dans le logiciel BPM.

La gestion de ses données permet donc d’accompagner la modélisation des process, mais aussi, et surtout leur optimisation puisque c’est ce qui est en fait au cœur de la démarche.

En entreprise, certaines tâches peuvent être répétitives ou à faible valeur ajoutée ce qui entraine parfois une perte de performance et/ou de productivité. Avec ce type de plateforme, trouver des solutions concrètes à mettre en place devient beaucoup plus aisé et la gestion des différentes tâches à réaliser ne peut en être qu’améliorée et fluidifiée. Les fonctionnalités de ce type d’outil travaillent donc toutes en ce sens grâce à l’optimisation et l’automatisation des processus métiers.

➞ En savoir plus sur qu’est-ce que le BPM

À quoi sert un logiciel BPM ?

Le logiciel BPM offre de nombreux avantages non négligeables. Une entreprise aura tout intérêt à le prendre en considération si elle souhaite évoluer. Le contrôle opérationnel accru de l’activité est le premier avantage que l’on peut citer, mais on peut également parler de l’amélioration de la collaboration grâce à une meilleure communication, une réduction des tâches répétitives et bien évidemment une productivité optimale.

Grâce à tous ces avantages, l’entreprise connaitra un véritable gain de temps, mais aussi de productivité, la propulsant à un tout autre niveau et lui offrant donc de nouvelles possibilités en matière de développement. Le logiciel BPM est une véritable opportunité d’évolution pour une société en matière de développement et cet outil peut être utilisé dans tous les secteurs d’activité. Par ailleurs, les workflows optimisés pourront l’être à nouveau au fil du temps en fonction des nouveaux besoins des collaborateurs.

Avec le Low-code : les fonctions métiers au cœur des processus

Les prémisses de la vague Low-code remontent à 2011 avant d’être identifiée sous ce terme en 2014 par Forrester. Le principe est simple, il s’agit d’un travail par interface graphique, avec au maximum 20% de programmation. Le Low-code se distingue en cela du No-code, qui comme son nom l’indique, ne propose pas du tout de programmation.

Pour un public non-développeur, le No-code est évidemment une solution plus accessible, toutefois, on observe qu’en environnement professionnel, la marge de manœuvre offerte par le Low-code permet de combiner la rapidité de déploiement, avec une finesse et une personnalisation plus importantes.

Le recours à une interface graphique pour la conception d’application recouvre un ensemble d’atouts qui apportent un véritable avantage concurrentiel :

  • Rapidité de déploiement
  • Simplicité de la prise en main
  • Réduction des coûts
  • Applications collaboratives
  • Fiabilisation de la démarche qualité
  • PDCA (Plan, Do, Check et Act = planifier, réaliser, vérifier et agir)

Évidemment, cette révolution possède encore quelques freins, en fonction des éditeurs, des solutions, et des degrés de maturité technologiques de l’entreprise (notamment la communication avec des SI vieillissants). Parmi ces freins, on peut retenir notamment des frais supplémentaires pour l’intégration, le tarif de certaines plateformes Low-code ou encore l’aspect propriétaire retenu par certains éditeurs.

Le marché du Low-code / No-code est aussi en pleine expansion, et ces différents aspects sont aussi de moins en moins vrais, car de nouveaux acteurs surgissent, et contraignent l’ensemble du marché à innover et repenser leur Business model.

Le Low-code, un marché en pleine expansion

Les compteurs de la sphère Low-code s’affolent, avec des chiffres plus impressionnants les uns que les autres :

  • Un marché de 4 Milliards en 2017, et 27 milliards en 2022 (projections réalisées par ResearchAndMarkets).
  • 75% des entreprises vont se développer à partir de Low-code dans les 5 prochaines années (d’après Forrester).
  • Un facteur 10 de temps entre un projet de développement classique et un projet Low-code et 70% de ressources en moins.

Si autant d’entreprises sont séduites par le Low-code, c’est notamment que le retour sur investissement est facile à constater. En effet, le déploiement peut être réalisé avec des profils techniques moins pointu et la rapidité de développement permet de mobiliser moins de ressources. Une étude menée par Techrepublic, met en avant qu’un projet Low-code permet une réduction des coûts pouvant aller jusqu’à 39%.

BPMN : plusieurs métiers, un langage commun !

Le second pilier de la révolution est la norme BPMN. C’est un outil de normalisation valable pour tous les process métiers d’une entreprise. On retrouve ainsi trois types de symboles qui permettent de modéliser n’importe quel circuit de validation : les événements par des cercles, les activités sont symbolisées par des rectangles, et les gateways par des losanges (instances décisionnaires que l’on va pouvoir rencontrer tout au long d’un workflow).

Grâce à ce langage visuel uniformisé par la norme, la communication est simplifiée entre les fonctions métiers, et les développeurs, ou encore entre services, voire d’une entreprise à l’autre.

Le BPM Low-code/No-code : au service de la rapidité d’exécution

Le BPM Low-code/No-code permet de schématiser des processus métier en s’appuyant sur la norme ISO/CEI 19510 qui se découpe en six cycles :

  • Etude
  • Modélisation
  • Implémentation
  • Exécution
  • Pilotage
  • Optimisation

Pour le pilotage et l’optimisation, le BPM Low-code s’illustre par sa simplicité et sa rapidité d’action. Lorsque le besoin de modifier son processus se fait sentir, il n’est pas nécessaire de repasser par une phase de développement ou de projet. Les modifications sont intégrées en temps réel par le framework.

Si nous prenons l’exemple d’une entreprise qui souhaite obtenir une certification ISO 9001, la norme BPMN a été pensée pour cette certification. En plus d’avoir cette modélisation, les entreprises qui l’utilisent vont avoir beaucoup plus de finesse dans leurs process.

Axelor en est un parfait exemple. L’entreprise a obtenu la certification ISO 9001 auprès du bureau Veritas. Ce qui représente un vrai gage de qualité pour nos clients. La nome BPMN facilite grandement le fait de toujours rester à ce niveau de qualité essentiel dans une entreprise.

Les BPM Low-code/No-code sont révolutionnaires pour les entreprises qui les adoptent en leur permettant de modéliser, puis de modifier à la volée, leur processus métiers. Pour les plateformes les plus avancées, comme celles d’Axelor, l’articulation entre les applications, le BPM et le BAM (Business Activity Monitoring) est native.

Pour répondre aux pressions internes et externes et valoriser leur savoir-faire métiers, les entreprises gagnent avec un BPM Low-code, un avantage concurrentiel très important en gagnant une flexibilité inégalée, conjuguée à des économies en ressources à consacrer pour leur développement.

De fait, la montée en puissance du Low-code épouse de près celle du BPM, et l’intégration de ces deux innovations ouvre un nouveau marché en pleine explosion. En 2018, un sondage de RedHat indique que plus de 50% des entreprises ayant adopté le BPM réduisent leurs dépenses. En prenant un exemple concret : Adidas est dorénavant capable de réduire considérablement son lead-time. A priori, le marché du BPM devrait doubler de 2020 à 2025.

Le BPM Low-code, véritable couteau suisse des entreprises

Les cas d’applications des  BPM Low-code/No-code sont innombrables : demande sur un logiciel de gestion des achats, processus de recrutement, gestion des médicaments en milieu hospitalier … depuis le logiciel de gestion des achats.

Grâce à l’aspect No-code vous pouvez simplement utiliser votre souris pour automatiser des prises de décisions au cours du process. Par ailleurs, le BPM Low-code d’Axelor vous guide tout au long de la création grâce à une interface graphique claire.  Il est ainsi possible de commenter chacune des étapes pour mentionner un éventuel oubli. Vous n’êtes pas obligé de ne visualiser qu’un seul process à la fois, vous pouvez voir ceux qui sont reliés entre eux sur un seul et même écran. Vous avez même la possibilité d’imposer un timer au sein d’un process pour faire des rappels par mail ce qui peut être utilisé pour un suivi des commandes clients.

La vague des BPM Low-code, en conjuguant deux technologies matures, ouvre un champ des possibles qui s’étend à l’ensemble des fonctions métiers d’une entreprise, ou de n’importe quelles activités (services, productions…) qui nécessitent un circuit de validation.

Permettant de gagner en agilité, tout en réduisant les ressources nécessaires aux déploiements, les BPM Low-code sont en train de révolutionner la manière de concevoir une application métier dans les entreprises.

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